Il est de plus en plus courant d’acheter un disque dur externe. Souvent, le dispositif choisi n’est pas adapté à l’usage que vous comptez en faire, et ce support de stockage n’est pas utilisé au maximum de ses capacités.
Pourquoi une entreprise doit-elle utiliser un disque dur externe pour la sauvegarde ?
Le disque dur externe est un élément crucial de la sauvegarde, de la protection et de l’utilisation des données. Il doit donc être choisi en tenant compte de la continuité de l’activité. Vos fichiers personnels et professionnels sont sauvegardés à l’aide d’un disque dur externe. Par conséquent, les données sont conservées sur un support distinct de l’ordinateur, qui est vulnérable à un certain nombre de risques :
- Les risques physiques incluent le feu, les dégâts des eaux, les chocs électriques et les blessures.
- Les risques logiques comprennent les ransomwares, la cybercriminalité, le phishing, les pannes de disque dur et les pannes de système.
- Les dangers humains comprennent les abus, le vol et le sabotage.
- La perte de données, un problème grave pour les particuliers et les professionnels, doit être prévenue en maintenant le disque dur comme un coffre-fort virtuel, véritable défense contre les différents dangers qu’il présente. L’efficacité du plan de reprise après sinistre (PRS) dépend de la manière dont il fonctionne pour les entreprises et les collectivités.
Sur le plan professionnel, le travail à domicile est facilité par l’utilisation d’un disque dur externe et d’une connexion Internet. En effet, la possibilité de déplacer les données professionnelles d’un poste de travail à un autre permet de communiquer en toute sécurité entre le bureau et le domicile.
Pour vous protéger contre les risques logiciels, installez un système de protection, tel qu’un anti-virus.
Pour éviter de connecter l’appareil à d’autres ordinateurs et de le mettre en danger, la gestion des données sensibles est souvent organisée autour d’un disque dur. Cependant, il est de la responsabilité de l’entreprise de se protéger de la responsabilité légale et pénale de la sécurité informatique en assurant la restauration des données vitales pour l’entreprise et la collectivité. La perte de données est coûteuse pour les entreprises, les collectivités et les personnes en général.
Un disque dur peut être utilisé comme un espace de stockage supplémentaire, un véritable complément, dans lequel l’utilisateur souhaite simplement sauvegarder et exécuter ses applications, sans exercer de force dans son utilisation. Le disque dur externe, qui est un dispositif relativement simple à utiliser et qui ne nécessite que des dépôts de fichiers, facilite la consommation de matériel multimédia sur des appareils comme les téléviseurs et les consoles de jeux.
Comme le dispositif est compatible avec diverses architectures et systèmes d’exploitation (OS pour Operating System), notamment macOS, Windows et Linux, cette alternative au cloud public est accessible à tous, quel que soit l’ordinateur. En outre, les fabricants proposent des options de stockage sécurisées en plus du disque externe afin que les clients puissent éviter que leurs données soient gérées par des géants en ligne. La frontière avec un NAS est donc assez mince puisque cette extension de capacité de stockage peut être mise en place via une connexion sans fil pour permettre une utilisation via un smartphone ou une tablette.
Quels sont les critères de choix et comment sélectionner un disque dur externe ?
Les disques durs existent en deux tailles différentes : 2,5 et 3,5 pouces. Le gadget fonctionne mieux dans la taille de 2,5 pouces pour une utilisation mobile et portable. Il suffit de le connecter à un port USB ou à un autre connecteur pour recevoir l’énergie électrique dont il a besoin pour fonctionner. Le format de bureau, ou format 3,5 pouces, offre un espace de stockage plus important. Cependant, pour l’utiliser, vous devez le relier à une certaine source d’énergie.
La capacité de stockage est un autre facteur important à prendre en compte en fonction des besoins de l’utilisateur : l’offre est complète et va de 120 Go en SSD à 12 To en HDD.
La vitesse de rotation, qui va de 5400 à 7200 tours par minute, représente le nombre de tours par minute. Plus cette valeur est élevée, plus la réactivité est rapide. Selon le type d’informations à sauvegarder – musique, photos, vidéos, documents ou machines virtuelles – l’utilisateur choisira soit un appareil axé sur les performances, notamment pour les fichiers volumineux, soit un support léger et convivial. Si l’utilisation est orientée vers les performances, la mémoire cache doit également être prise en compte ; plus elle est élevée, plus l’appareil est réactif.
Un disque dur externe est compatible avec tous les ports d’un ordinateur et existe en version USB 3, USB type C et Thunderbolt. Cependant, en fonction de ces ports, la vitesse de transmission varie, Thunderbolt 3 étant la plus rapide. Techniquement, lorsqu’un utilisateur choisit d’utiliser un SSD externe au lieu d’un disque mécanique, la question des performances n’entre pas en ligne de compte.
En passant à un SSD, le client a également la possibilité de recycler le disque dur interne de son ordinateur. Ce recyclage est extrêmement facile à réaliser ; il suffit de le placer dans un boîtier approprié de n’importe quelle taille, fabriqué dans n’importe quel matériau – y compris le plastique ou l’aluminium – et équipé de n’importe quelle prise facilement accessible, y compris USB 3, USB C et Thunderbolt.
Il existe un modèle qui est abordable pour tous les utilisateurs et qui peut répondre à leurs exigences professionnelles et personnelles. Le marché de l’occasion, qui se développe pour les périphériques comme pour tous les biens high-tech, est un autre endroit où l’on peut faire des affaires sur les disques durs. Toutefois, si le modèle a été utilisé pendant longtemps et de quelle manière, faites attention à sa facilité d’entretien. Ce dernier aspect doit être étudié avec soin car le fait de connaître la durée de vie du disque permet d’éviter de subir un crash et ses implications bien connues, à savoir la perte de données. En examinant le contenu et son utilisation, les logiciels peuvent révéler ces informations.
Les données ont été développées pour être protégées des menaces physiques par des types de supports de sauvegarde externes. Les disques durs externes sont donc ignifuges, étanches et résistants aux chocs. Ces derniers, plus coûteux, sont suffisamment fiables pour sauvegarder des informations et des papiers privés. Par conséquent, ces modèles contribuent à garantir le respect des prérogatives et des devoirs du RGPD.
Parmi les fabricants de disques durs externes les plus connus figurent les sociétés françaises Storeva et LaCie, ainsi que d’autres noms connus comme Samsung, Akitio, Transcend et OWC.
Quelles sont les alternatives pour les particuliers et les professionnels ?
Le fait de copier et coller des fichiers sur un support de stockage ne suffit pas à constituer une sauvegarde. En cas de panne de l’ordinateur, une sauvegarde est conçue pour intégrer le système d’exploitation. De plus, le DRP n’aura aucune valeur s’il n’existe aucun moyen de restaurer les fichiers à partir d’une sauvegarde.
Des outils et des logiciels sont accessibles pour faciliter la sauvegarde des données de votre ordinateur sur votre disque dur externe. Par exemple, Time Machine, qui fait partie de macOS par défaut, utilise le versioning pour sauvegarder l’ensemble du système. Cette fonctionnalité permet de conserver toutes les versions historiques des fichiers mis à jour. Des outils sont également disponibles pour Linux et Windows permettant aux utilisateurs d’atteindre le même objectif.
Il est essentiel d’employer un système de fichiers accepté par les différentes architectures afin de rendre ces enregistrements aussi universels que possible entre de nombreuses machines. ExFAT semble représenter un compromis à cet égard. Chaque système d’exploitation possède ses propres systèmes de fichiers NTFS, HFS+ ou Ext 4, et la compatibilité peut être délicate à gérer.
Le disque dur est un périphérique de stockage qui est destiné à être utilisé souvent. En matière de protection des fichiers, un programme de sauvegarde cohérent équivaut à la stabilité et à la durabilité de l’utilisation des données. Les systèmes d’exploitation recommandent une exécution manuelle ou automatique de ce rythme.
La sauvegarde avec un disque externe doit être planifiée pour une sécurité renforcée lors d’un éventuel crash, qu’elle soit incrémentale – qui ne concerne que les fichiers mis à jour lors de la précédente sauvegarde – ou différentielle – qui sont conservés par rapport à la dernière passe d’enregistrement.
Même un service de cloud gratuit fonctionne bien comme option de sauvegarde lorsqu’il est associé à un support physique. C’est le cas d’Onedrive, qui est accessible sur Mac et Windows et fournit une solution de sauvegarde complète avec une capacité suffisante sans coût supplémentaire : un argument convaincant pour les clients qui souhaitent récupérer leur matériel depuis n’importe quel endroit. Cependant, un abonnement est disponible avec ou sans Microsoft Office pour Windows ou Mac vendu en ligne ou via un revendeur lors de la livraison d’une machine si le client a besoin de plus de capacité. Ce type de solution est un rival redoutable de l’approche iCloud d’Apple et est bien adapté à un support physique, tel qu’une clé USB. OneDrive offre une expérience utilisateur simple, semblable à celle d’un support tangible, qui répond aux besoins des experts comme des personnes ordinaires. Le programme est simple à utiliser pour arrêter les copies de sauvegarde sur divers supports car il est en connexion directe avec l’OS de Microsoft ou le Finder de macOS.
La majorité des dispositifs de sauvegarde commercialisés comportent désormais une interface USB, ce qui les rend compatibles avec toutes les machines contemporaines, quelle que soit leur capacité : L’OS d’un PC ou d’un Mac utilise une sauvegarde profonde pour récupérer intégralement les données. Les fabricants proposent souvent un logiciel de sauvegarde avec une interface spécifique, que ce soit pour un appareil de 3,5 pouces dont la hauteur, le poids et la profondeur sont supérieurs à ceux d’un appareil de 2,5 pouces.
Techniquement parlant, une sauvegarde s’effectue plus rapidement lorsque des fichiers plus lourds que des fichiers plus petits sont dupliqués.
Les dispositifs de sauvegarde portables à interface USB, qui sont de plus en plus commercialisés à des prix abordables, ont des dimensions conventionnelles de poids, de profondeur et de hauteur qui sont parfaites pour la mise en place d’un rack de sauvegarde. Cela a l’avantage de faciliter la sauvegarde, notamment dans les entreprises disposant d’un ou plusieurs postes de travail.
Une variété d’options de sauvegarde allant au-delà des supports physiques est proposée pour répondre aux besoins uniques des entreprises et des professionnels. L’un des principaux avantages est la gestion par le cloud des sauvegardes locales, moyennant des frais supplémentaires.
La sauvegarde est instantanément accessible sur le support physique, ce qui lui confère un avantage évident par rapport au cloud. En raison de la facilité d’utilisation des solutions actuelles et du fait qu’il n’y a aucune restriction sur la taille des données qui peuvent être transférées, même dans la version gratuite, il est également évident qu’un nombre croissant de personnes utilisent un nuage gratuit pour la sauvegarde. D’autre part, la transmission de données par le biais du cloud utilise beaucoup de bande passante.
La sauvegarde est essentielle pour la sécurité de ses données et de ses actifs numériques face à des dangers toujours plus grands. La protection doit répondre aux attentes compte tenu de la complexité de menaces plus sophistiquées. Les programmes de sauvegarde gratuits sont inadaptés à ces attaques, mais un disque dur est nettement moins vulnérable car il n’est pas relié à Internet.